C’est le premier d’un enchaînement de trois concerts de pop française, On se retrouve au Point Éphémère pour assister au concert de Camp Claude, aka Diane Sagnier, photographe de musiciens ; passée de l’autre côté de l’objectif, avec les deux gars de Tristesse Contemporaine. Je les avais déjà vus à un concert publicitaire promo à la Gaîté Lyrique juste après un ersatz de Blankass (je vous laisse imaginer l’horreur) et leur petit show ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable. Entre poses et compositions convenues, la prestation n’avait pas vraiment un grand moment musical, même au regard de l’indigence de la programmation.
Première constatation elle est très bien entourée, avec deux musiciens parfaits, qui apportent une bonne assise au projet. Il y a de bon morceaux, et de très bon moments, particulièrement vers la fin du concert, mais il y a toujours des moments creux, sans doute parce que le projet est encore jeune, et encore en gestation. On remarquera qu’il est bien dans la tendance de la pop française qui lorgne vers la variété et (surtout) vers un son uniforme, à base de new wave proprette et de grosses ficelles technoïdes, je vous épargne le name dropping, mais vous devez avoir déjà une idée.
Je vous laisse découvrir ce qu’on pouvait voir sur scène, avec quelques (belles, oui) images du concert.
Ah et one more thing, en première partie, il y avait les gars de Marble Arch, malgré leurs looks à être des abonnés des folles soirées zouk de l’Espace B, le peu que j’en ai vu est plein de promesses pour la suite. A suivre donc.