La très joyeuse Monsterheart nous chante une vieille chanson traditionnelle américaine, Oh Death. On aurait pu craindre un truc vraiment dégoulinant de noirceur frelatée, mais la chanteuse en livre une très belle version minimaliste, avec juste un lead et une voix légèrement travaillée. En somme une joli chanson plus que centenaire pour repousser la nuit les soirs d’hiver.
(eh et il va y avoir un album au printemps)